lundi 24 novembre 2014

Manuel Bienvenue à la Peeragogy!

Introduction 

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Welcome to the Peeragogy Handbook!
Peeragogy is a collection of techniques for collaborative learning and collaborative work. By learning how to “work smart” together, we hope to leave the world in a better state than it was when we arrived.
Indeed, humans have always learned from each other. But for a long time — until the advent of the Web and widespread access to digital media — schools have had an effective monopoly on the business of learning. Now, with access to open educational resources and free or inexpensive communication platforms, groups of people can learn together outside as well as inside formal institutions. All of this prompted us to reconsider the meaning of “peer learning.”

Manuel Bienvenue à la Peeragogy!
Peeragogy est un ensemble de techniques pour l'apprentissage collaboratif et le travail collaboratif. En apprenant à «travailler de façon intelligente" ensemble, nous espérons laisser le monde dans un meilleur état qu'il ne l'était quand nous sommes arrivés.
En effet, les humains ont toujours appris les uns des autres. Mais pendant longtemps - jusqu'à l'avènement du Web et un accès généralisé aux médias numériques - écoles ont eu un monopole de fait sur l'activité de l'apprentissage. Maintenant, avec l'accès aux ressources pédagogiques et des plates-formes de communication gratuits ou peu coûteux, des groupes de personnes peuvent apprendre ensemble à l'extérieur comme à l'intérieur des institutions formelles. Tout cela nous a incité à reconsidérer le sens de «l'apprentissage par les pairs."



The Peeragogy Handbook isn’t a normal book. It is an evolving guide, and it tells a collaboratively written story that you can help write. Using this book, you will develop new norms for the groups you work with — whether online, offline, or both. Every section includes practical ideas you can apply to build and sustain strong and exciting collaborations. When you read the book, you will get to know the authors and will see how we have applied these ideas: in classrooms, in research, in business, and more.

You’ll meet Julian, one of the directors of a housing association; Roland, a professional journalist and change-maker; Charlie, a language teacher and writer who works with experimental media for fun and profit; and Charlotte, an indie publisher who wants to become better at what she does by helping others learn how to do it well too — as well as many other contributors from around the globe.

Traduction :
Le Manuel Peeragogy ne est pas un livre normal. Ce est un guide évolutif, et il raconte une histoire écrite en collaboration vous pouvez aider écriture. L'utilisation de ce livre, vous développerez de nouvelles normes pour les groupes avec lesquels vous travaillez - soit en ligne, hors ligne, ou les deux. Chaque section comprend des idées pratiques que vous pouvez appliquer pour construire et maintenir des collaborations fortes et passionnantes. Lorsque vous lisez le livre, vous apprendrez à connaître les auteurs et verrez comment nous avons appliqué ces idées: dans les classes, dans la recherche, dans les affaires, et plus encore.

Vous allez rencontrer Julian, l'un des administrateurs d'une association de logement; Roland, journaliste et changement fabricant professionnel; Charlie, un professeur de langue et écrivain qui travaille avec les médias expérimentale pour le plaisir et le profit; et Charlotte, un éditeur indépendant qui veut devenir meilleure dans ce qu'elle fait en aidant les autres à apprendre comment le faire bien trop - ainsi que de nombreux autres contributeurs du monde entier.

The book focuses on techniques for convening a strong group, organizing a learning space, doing cooperative work, and conducting effective peer assessment. These major sections are complemented by a catalog of design patterns and notes on relevant technologies.
The next section is a guide to using the book, but, in brief, if you’re reading this book on peeragogy.org, please use the comment feature to share your thoughts, and if you’re reading it on paper, get out your pen and start making notes.  The best way to get something out of Peeragogy is to put a lot into it.  We are always interested in more case studies, and anything that will improve the presentation and usefulness of this material, so please don’t hesitate to get in touch.

Traduction :
Le livre se concentre sur les techniques de convoquer un groupe solide , organiser un espace d'apprentissage , faire le travail coopératif et effectuer des évaluations par les pairs efficace . Ces sections principales sont complétées par un catalogue de modèles de conception et note sur les technologies pertinentes.
La section suivante est un guide d'utilisation du livre, mais, en bref, si vous lisez ce livre peeragogy.org, s'il vous plaît utiliser la fonction de commentaire à partager vos pensées, et si vous lisez sur le papier, sortir votre stylo et commencer à prendre des notes. La meilleure façon d'obtenir quelque chose de Peeragogy est de mettre beaucoup en elle. Nous sommes toujours intéressés à plusieurs études de cas, et tout ce qui permettra d'améliorer la présentation et l'utilité de ce matériau, de sorte se il vous plaît ne hésitez pas à entrer en contact .

Sources : ici

dimanche 16 novembre 2014

Comment la jeunesse utilise le numérique ?

L'exemple des Apprentis d'Auteuil.
Existe-t-il un usage particulier du numérique par la jeunesse en difficulté? Une étude conduite auprès d’adolescents scolarisés ou hébergés par Apprentis d’Auteuil –des jeunes en difficulté scolaire, en grande partie issus de familles et de milieux fragilisés– apporte un éclairage[1]. Les réseaux sociaux, en particulier, sont ressentis par eux comme une opportunité de désenclavement de leur monde social. Un vent d’ouverture.

Divertissement et partage

Que font ces jeunes sur Internet? On observe beaucoup de points de convergences avec les autres adolescents. De fait, pour eux comme dans toute la jeunesse, le numérique est assimilé à une mosaïque culturelle: YouTube, Facebook, Gmail, Twitter, Instagram,  Skype, Deezer, et certains sites de films… Au final, une galaxie sémantique qui prouve une chose: en dix ans, c’est tout l’univers du divertissement des jeunes qui s’est renouvelé.
Au-delà, sans trop de surprise, les jeunes d’Apprentis d’Auteuil pratiquent davantage Internet dans le cadre des loisirs que dans celui du travail scolaire. Leur usage obéit à une hiérarchie très spécifique. Ils pratiquent peu les e-mails ou les recherches personnelles d’info, contrairement au groupe témoin. Leur principale activité consiste à naviguer sur les réseaux sociaux dont ils sont plus friands que leurs congénères, d’une part et, de l’autre, à consommer des biens culturels (dans l’ordre, musique, petites vidéos, films ou séries) et à jouer à des jeux vidéo.
L’usage d’Internet à des fins utilitaires ne leur est pourtant pas étranger, loin de là, car les enseignants emploient des outils numériques dans les cours. Les jeunes Apprentis d’Auteuil savent tous manier un logiciel de traitement de texte, et, pour deux tiers d’entre eux, fabriquer un powerpoint. Mais les nouvelles technologies leur fournissent surtout le moyen de chercher du travail ou un stage et tous ont en tête qu’à un moment ou à un autre ils devront prendre langue avec un «patron». De là, mille considérations sur ce que l’on peut mettre de soi sur Facebook –car «les patrons peuvent visiter les comptes et vérifier ce qu’on dit»–, et sur la modalité la plus conforme pour entrer en contact avec un employeur:
«Un SMS, c’est impossible, ça fait trop familier, un e-mail c’est mieux; un patron tu lui dois le respect, si tu écris correctement le message, sans fautes, sans abréger, ça passe; le mieux, c’est d’appeler au téléphone ou d’aller le voir en face.»
Leurs propos témoignent d’une perception fine de la conformité des usages des nouvelles technologies selon les mondes sociaux.

Les réseaux sociaux, opportunité d’exister davantage

Ils utilisent volontiers Skype. Ils ont un ou plusieurs comptes dans les réseaux sociaux –Facebook 86% (la plupart affiche entre 200 et 500 amis), Twitter 32%, d’autres sites comme My Space, Tumblr, Snapchat, Google, 33%. Notons que, chez eux, l’entrée dans «la communauté Facebook» a commencé tôt: plusieurs d’entre eux citent l’âge de 12-13 ans, ce que confirment d’autres études sur les jeunes en milieu populaire. On décèle chez eux,  comme ailleurs, un début de désaffection pour Facebook au profit des messageries éphémères comme Snapchat ou Whisper, même si celui-ci demeure, et de loin, le réseau le plus fréquenté.
Les jeunes d’Apprentis d’Auteuil se singularisent par leur approche des réseaux sociaux. Ils se déclarent nettement plus actifs que le groupe témoin (38% contre 23%), s’y montrent plus partageurs –plus d’échanges de musique, photos ou vidéos, plus de commentaires sur des produits ou des activités, ou sur des photos déposées.
Parallèlement, ils prouvent une incroyable ouverture vers le monde extérieur: ils y rencontrent plus de nouvelles relations (53% d’entre eux ont fait de nouvelles connaissances contre 36% pour le groupe témoin), n’hésitent pas à donner rendez-vous à ces nouvelles personnes dans la vie réelle (44% contre 30%), et surtout s’y exposent infiniment plus facilement en mettant volontiers leur nom réel, des photos, leur adresse e-mail ou leur actualité sentimentale (35% contre 22%). Cette ouverture vers l’autre, certes, suggère parfois une certaine naïveté ou un manque de maÎtrise. Leurs comportements, toutefois, manifestent clairement une recherche de présentation de soi et une mobilisation pour la visibilité sociale à travers ces réseaux. Comme si, de fait, existait sur un mode latent une vive aspiration à la sociabilité et à la rencontre, soit avec des personnes déjà connues, soit totalement extérieures.
La recherche de contacts se manifeste aussi par l’intensité de la communication par SMS:  virtuoses du texto, les jeunes d’Apprentis d’Auteuil en rédigent infiniment plus que la moyenne (43% font plus de 100 SMS par jour pendant le week-end contre 13% du groupe témoin). La gratuité des SMS, comparée aux communications téléphoniques (tous les jeunes n’ont pas un forfait illimité), n’est pas la seule raison de l’engouement qu’ils suscitent –on peut rédiger des SMS en toute discrétion (même pendant les cours), ils permettent une certaine maîtrise du contenu, ces éléments jouent aussi. Le SMS, pourtant est conçu par eux comme une approche intrusive pour le récepteur, alors que l’e-mail évoque une perception plus ouatée du récepteur et une attitude plus déférente envers  celui-ci –l’e-mail semble ainsi réservé aux timides ou à des échanges formels.
Les jeunes d’Apprentis d’Auteuil disent être actifs sur leurs réseaux sociaux, y vont pour partager des contenus ou faire des commentaires. Un sur cinq a créé un blog sur lequel il parle de lui-même et de ses passions, un chiffre légèrement supérieur à celui du groupe témoin. 
Ces données tendent à prouver une assez forte absence d’inhibition à se mettre en avant et à se mettre en scène, contrairement à ce qu’on pourrait imaginer chez des jeunes fragilisés. Ils ne semblent guère enclins à protéger leur intimité. L’enquête ne permet pas de préciser si, au-delà de cette extériorisation de leurs humeurs et de la traçabilité de leur quotidien, l’usage intensif des outils numériques agit comme catalyseur pour réfléchir sur soi-même, pour favoriser des explorations identitaires, pour faire partager des angoisses ou d’autres sentiments. Dans les études sur la communication Internet, ce double registre «intériorisation des émotions et partage des émotions» semble indissolublement lié.
L’intensité des actes de partage des jeunes d’Apprentis d’Auteuil intrigue. 
Peut-on y voir la recherche d’un rattrapage de sociabilité, une quête de lien social pour des jeunes qui, pour une part, ont eu une enfance et une scolarité suffisamment perturbées pour ressentir un certain décalage avec leur génération? Une façon de rompre la solitude? Un exutoire pour ceux qui sont en internat? Une candeur à l’égard d’Internet? Outre ces dimensions, il paraît que les réseaux sociaux jouent un rôle important dans la construction de leurs relations amoureuses ou sexuelles.
Les jeunes d’Apprentis d’Auteuil ne fréquentent pas les sites de rencontres, qu’ils dédaignent («Meetic, c’est pour les vieux», «les sites de rencontres, c’est la plus grosse arnaque du siècle»). Ils agissent dans un périmètre de relations plus restreint, celui des proches et des amis d’amis, des personnes qu’ils ont repérées –ou qui les ont repérés. Facebook opère comme un sas à partir duquel on peut envoyer un petit clin d’œil, évaluer ses chances de plaire, faire passer un message par un tiers, bref amorcer une relation ou tenter de l’approfondir. Plus trivialement, c’est un espace de «drague» pour les adolescents.
Dans ce dédale d’interactions qui peut acheminer vers une rencontre, l’envoi de photos pose une étape primordiale (une photo de face et non de profil, cette dernière étant suspecte), avant l’éventuel échange du numéro de téléphone –un processus identique aux sites de rencontres.

Internet, a second life?

Le jugement des jeunes d’Apprentis d’Auteuil sur Internet est particulièrement approbateur; cette phrase savoureuse l’illustre:
«Internet, c’est positif, sinon on ne l’aurait pas créé!»
A contrario, une minorité d’entre eux conforte les appréciations négatives régulièrement assignées aux outils numériques: faire perdre du temps (42%), éloigner du monde réel (44%). Que l’on s’appuie sur les points positifs ou les points négatifs, leur opinion se révèle infiniment plus optimiste que celle des autres jeunes, comme s’ils trouvaient, quant à eux, beaucoup d’arguments pour se réjouir de l’avènement d’Internet.
Les jeunes d’Apprentis d’Auteuil disposent d’un taux d’équipement numérique un peu plus faible que la moyenne, et au final, ils passent un peu moins de temps que les autres jeunes dans l’univers d’internet (notamment parce qu’une partie d’entre eux vit en internat). Par contre, ils ont complètement intégré le modèle de la communicationmoderne, ont une claire perception des usages appropriés aux diverses situations, et utilisent bien davantage les ressources d’Internet pour l’interactivité. 
L’intensité et les caractéristiques de leurs échanges dénotent un désir de chercher de la visibilité et de prouver leur présence dans le réseau. Comme si Internet les incitait à une participation sociale à laquelle certains sont moins invités dans le monde réel, une participation parfois symbolique (voire dérisoire) comme les «like» ou les votes à des sollicitations diverses, mais vécue comme un acte d’affirmation. Comme si Internet offrait une seconde chance à ceux que la première chance –celle apportée par le milieu social et l’école– a désertés. Comme s’il pouvait procurer une «second life» –alors que ce jeu, largement tombé en désuétude, n’est jamais cité dans l’enquête.
1 — 529 jeunes de 16-25 ans, scolarisés et/ou hébergés dans des établissements d’Apprentis d’Auteuil, ont été interrogés via un questionnaire détaillé sur leurs pratiques numériques. Six focus groupes ont été réalisés dans ces établissements. Les résultats ont été confrontés à ceux d’un groupe témoin (1.000 jeunes représentatifs de la classe d’âge). Le texte suivant ne restitue qu’une petite partie de l’étude dont l’intégralité sera publiée sous forme de rapport au début de 2015. Retourner à l'article

Source de l'article : ici

 

Petit guide d'utilisation de Twitter

Mis à jour le jeudi 31 octobre 2013






  • 1 heure
  • Facile

Introduction du cours

Bonjour à tous. :) 
Vous avez déjà sûrement entendu parler de Twitter, mais peut-être que vous vous demandez de quoi il s'agit.
Si c'est en effet le cas, vous avez frappé à la bonne porte : ce tutoriel vous explique les bases de l'utilisation de Twitter et les pratiques en vigueur sur le site.
Bonne lecture. ;)

Découverte et inscription

Qu'est-ce que Twitter ?

Nous allons commencer par une question qui doit sûrement vous ronger : qu'est-ce que Twitter ?
Le réseau social a été créé en avril 2007 dans la ville de San Francisco, aux États-Unis. Il a à l'origine été créé pour partager avec ses amis plusieurs choses telles que le lieu où vous vous trouvez, ce que vous faites, etc. Actuellement, ces informations ne sont plus exclusivement partagées avec des gens que vous connaissez IRL, c'est même la plupart du temps le contraire.
Le principal avantage de Twitter est le fait qu'une information peut circuler et informer des millions de personnes du réseau en très peu de temps. Cet avantage est à double tranchant : puisqu'il est si facile pour une personne de faire circuler une information, une désinformation plus ou moins large sera faite si l'actualité est fausse ou partiellement erronée.
Un exemple de la puissance du réseau social : lors du tremblement de terre qui s'est déroulé le 12 janvier 2010 à Haïti, des personnes se trouvant sur les lieux de la catastrophe ont envoyé des photos du désastre sur Twitter. En quelques heures, des millions de personnes − si ce n'est plus − ont été informées de la catastrophe naturelle.
Les médias ont compris qu'ils ne seront maintenant plus les premiers à relayer une information, aussi pratiquement toutes les chaînes d'information possèdent un « consultant Twitter », qui a pour mission de dénicher des actualités sur le site de microblogging.
À l'heure où j'écris ces lignes, Twitter a franchi le cap des 10 milliards de tweets et compte plus de 75 millions d'utilisateurs.

Inscription

Avant de commencer à utiliser Twitter, il faut bien évidemment s'y inscrire.
Tout d'abord, rendez-vous sur le site puis cliquez sur le lien d'inscription « Sign up now » (à droite de la page).
Indiquez votre nom complet (full name, utile si quelqu'un veut vous retrouver à partir de votre nom), un nom d'utilisateur (username), un mot de passe (password), votre adresse mail (email), puis remplissez le captcha. 
Si vous vous sentez motivé, lisez les conditions d'utilisation du service (Terms of Service), et pour finir validez !

3... 2... 1... Followez !

Vous arrivez sur une page qui va vous permettre de sélectionner les sources d'information que vous désirez suivre (journaux, chaînes de télévision, radios) et de trouver d'éventuels amis qui seraient déjà sur Twitter (si si, c'est possible :-° ).
Dans le cadre de gauche, choisissez une catégorie qui vous intéresse. Une liste de personnes relayant régulièrement des informations du type choisi (ce sont généralement des personnes très connues : par exemple, dans la catégorie technologies se trouvent la BBC, Bill Gates, le co-fondateur de Twitter et bien d'autres). Cliquez sur le bouton Follow de celles que vous désirez suivre : cela signifie que les tweets des utilisateurs que vous sélectionnez apparaîtront sur votre page d'accueil. Dans le jargon Twitter, on dit que vous followez (de l'anglais follow, suivre) ces utilisateurs et que vous êtes un de leurs followers.
Une fois que vous avez sélectionné vos stars préférées ( :-° ), passez à l'étape suivante.
On vous donne ici la possibilité de retrouver les personnes se trouvant dans votre répertoire Gmail, AOL ou Yahoo. Sélectionnez le service que vous désirez utiliser pour ce faire, puis saisissez vos identifiants (pas d'inquiétude, la connexion au site est sécurisée).
Une fois que vous avez retrouvé (ou non) des connaissances, passez à l'étape suivante.
L'ultime étape vous permet de trouver quelqu'un à partir de son nom de famille, d'utilisateur, ou de société.
Après ça, l'inscription est finie et vous êtes redirigé vers votre timeline : votre page d'accueil Twitter, où vous voyez les tweets des utilisateurs que vous followez.
Par la suite, n'oubliez pas d'activer votre compte en cliquant sur le lien du mail que Twitter vous a envoyé.

Personnalisation

Voici votre situation actuelle : vous venez de vous inscrire sur Twitter, vous êtes heureux d'être enfin présent sur le site du moment, mais vous n'avez pas d'avatar, aucune information sur vous (si ce n'est votre nom) n'est présente sur votre profil, le site est en anglais, et vous avez l'image d'arrière-plan par défaut.
Que diriez-vous d'une petite personnalisation ?
Pour vous rendre sur l'interface des réglages, cliquez sur le lien « Settings », en haut à droite de la page.
Plusieurs onglets vous sont proposés.

Onglet « account »

Cet onglet vous permet de modifier les informations de votre compte : nom d'utilisateur, adresse mail, langue du site, fuseau horaire et pour finir, activer ou non l'option de géolocalisation et de privatisation des tweets.
Je vais détailler les champs en gras.
Le champ fuseau horaire sert à adapter les heures relatives aux tweets : si un utilisateur résidant au Canada en poste un à 16 h 00 (heure locale), il sera alors 22 h 00 pour vous (si vous habitez en France) et le premier horaire pourra être adapté à votre fuseau.
Si vous résidez en France ou aux alentours (Belgique par exemple), prenez l'option (GMT+1) Paris. Si ce n'est pas le cas, cherchez dans la liste la grande ville la plus proche de votre lieu de résidence.
Si vous choisissez d'activer l'option de géolocalisation, vos tweets seront, si vous tweetez depuis un téléphone mobile ou autre machine capable de vous situer dans l'espace, annotés du lieu où vous vous trouvez.
Si l'option de privatisation de La Poste de vos tweets est activée, cela signifiera que tout le monde ne peut pas voir ces derniers (ce qui n'est pas le cas si l'option est désactivée, sachez-le). Toute personne désireuse de vous follower devra alors vous envoyer une demande (que vous validerez ou non). Twitter vous conseille de laisser vos tweets publics afin d'en faire profiter le maximum de gens et je ne peux que vous encourager à suivre ce conseil. :)

Onglet « mot de passe »

Maintenant que vous avez, je suppose, passé le site en français, je vais pouvoir donner l'appellation française des onglets. :p 
Je ne vais pas passer deux heures sur celui-ci, il vous permet de changer de mot de passe.

Onglet « mobile »

Il semblerait que cette option ne soit pas disponible si vous résidez en France, il m'est donc impossible de décrire la procédure.
Si vous êtes en mesure de le faire, merci de m'envoyer un MP. :)

Onglet « notifications »

Ici, vous pouvez choisir ou non de recevoir un mail quand :
  • un utilisateur décide de vous follower ;
  • quelqu'un vous envoie un message privé ;
  • la newsletter de Twitter est envoyée aux inscrits.

Onglet « profil »

Vous l'auriez sans doute deviné sans que je vous le dise, vous pouvez ici modifier les informations qui apparaissent sur votre profil. :-° 
Vous pouvez vous choisir un nouvel avatar, modifier votre nom (même si ça ne risque pas d'arriver très souvent :p ), indiquer là où vous habitez, votre site web si vous en avez un, et même rédiger une petite biographie de 160 caractères.

Onglet « thème »

Cet onglet vous permet de changer l'apparence de votre page Twitter. 
Sélectionnez le thème de couleurs qui vous plaît le plus. Vous pouvez par la suite le modifier en changeant l'image d'arrière-plan, les couleurs du texte, des liens, etc.
Vous avez également la possibilité de ne pas utiliser d'image de fond du tout.

Tweets et interactions avec les utilisateurs

Dans cette partie, nous allons aborder plusieurs choses : les tweets, les retweets et les possibilités d'interaction avec les autres utilisateurs.

Les tweets

Un tweet est un message que vous envoyez sur votre page Twitter, je vous l'avais déjà dit plus haut. J'avais juste oublié un détail très important : un tweet ne peut contenir plus de 140 caractères.
Comment ça ? Si moi je veux raconter à tout le monde ma rencontre avec Britney Spears et que ça ne tient pas en 140 caractères, je peux faire comment ? :euh:
Vous avez plusieurs possibilités. Tout d'abord, vous pouvez poster plusieurs tweets se finissant par « [...] » pour indiquer que chacun d'entre eux a une suite.
Vous pouvez également opter pour un site web tel que tinypaste ou twitlonger qui vous permet de poster un tweet en ajoutant un lien vers la suite.
Maintenant que vous êtes rassuré, postez votre premier tweet et savourez l'instant. :-°

Les retweets

C'est grâce aux retweets qu'une information peut circuler si rapidement sur Twitter. Retweeter signifie relayer une information pour que tous vos followers puissent en être informés et la retweetent à leur tour.
Pour retweeter un tweet, il y a deux possibilités. Soit vous choisissez la façon « à l'ancienne » et vous formatez votre tweet selon la syntaxe « RT @[auteurDuTweetÀretweeter] [contenuDuTweetÀretweeter]», soit vous cliquez directement sur le lien Retweet se trouvant en bas à droite de chaque tweet.
Image utilisateur

Interactions avec les utilisateurs

Les replies

Vous avez vu un tweet auquel vous souhaiteriez réagir ou vous souhaitez simplement dire quelque chose à un autre utilisateur ? C'est bien sûr possible. Pour cela, il faut envoyer un tweet commençant par le signe arobase (@) suivi du nom de l'utilisateur auquel vous voulez parler. Exemple : « @BillGates Tu veux venir manger à la maison ce soir ? ».
Une fois le message posté, l'utilisateur concerné pourra voir votre tweet en cliquant sur le lien@[nomDutilisateur] qui se situe à droite de la page d'accueil de Twitter.

Les listes

Sur Twitter, il est possible de créer des listes d'utilisateurs. Le principe est simple : une liste comporte en plus de son nom un certain nombre d'utilisateurs. Une fois qu'elle est créée, n'importe qui peut follower la liste, et donc tous les utilisateurs qu'elle contient.
Pour créer une liste, c'est très simple. Dans le menu de droite se trouve une section listes. Cliquez sur le lien Nouvelle liste se trouvant en dessous.
Indiquez son nom, une courte description, si elle doit être visible par tout le monde ou seulement par vous, puis validez. Vous êtes redirigé vers une page vous demandant d'entrer le nom d'utilisateur d'une des personnes qui figureront dans votre liste.
Une fois cela fait, cliquez sur la deuxième icône en partant de la gauche (celle en forme de liste), puis cochez la case correspondant à votre liste.
Image utilisateur
Recommencez l'opération pour les autres utilisateurs que vous voulez voir apparaître dans celle-ci. :)

Les hashtags

Derrière ce nom barbare se cache en fait un principe très simple. Un hashtag est une chaîne de caractères ne contenant que des lettres et éventuellement des underscores (_), précédée du symbole spécial #.
L'utilité ? Une fois votre tweet contenant un hashtag envoyé, vous avez la possibilité de cliquer sur ce dernier. En faisant cela, vous pouvez voir la liste de tous les tweets contenant le hashtag !
Petit exemple de tweet contenant un hashtag :
Citation
Je suis en train d'écrire un tutoriel sur le Site du Zéro. #SdZ
Le hashtag est ici en orange. En cliquant dessus, vous vous retrouvez sur la pagehttp://search.twitter.com/search?q=%23sdz et vous pouvez consulter tous les tweets contenant lehashtag.
Voici une liste (non exhaustive) de quelques hashtags populaires :
  • #FollowFriday (ou #FF, ou les deux en même temps) : tous les vendredis, vous pouvez conseiller à vos followers des personnes à suivre en utilisant ce hashtag. Exemple : « #FollowFriday #FF @lemondefr @tanteJasmine @BillGates ».
  • #nowPlaying : avec ce hashtag, vous pouvez indiquer la musique que vous êtes en train d'écouter si ça vous chante (pas fait exprès le jeu de mots :-° ). Petite variante si vous souhaitez poster un film que vous êtes en train de regarder : #nowWatching.
  • #SdZ : quand un tweet parle du Site du Zéro, il contient souvent ce hashtag. Utilisez-le donc si vous dites quelque chose en rapport avec le site. :)
  • #fail : quand vous trouvez sur le Web quelqu'un ou quelque chose de désobligeant, de raté, etc. vous pouvez le tweeter en utilisant ce hashtag.

Favoris

Vous avez vu un tweet qui parlait d'un sujet qui vous intéresse, mais vous n'avez pas eu le temps de lire l'article dont il parlait ? Pour éviter qu'il soit noyé dans la masse, vous avez la possibilité de le marquer en favori (icône en forme d'étoile, en haut à gauche du tweet) puis de le retrouver en allant dans Favoris, du menu de droite.

Les messages privés

Les messages privés (ou MP), direct message (ou DM) en anglais, fonctionnent sur un principe très simple : seul l'utilisateur auquel il est destiné peut lire le message.
Pour en envoyer un, c'est très simple. Dans le menu de droite (eh oui, tout se trouve là ;) ), cliquez sur le lien Messages privés.
La liste des messages reçus s'affiche. 
Une particularité des MP sur Twitter est que vous pouvez en envoyer seulement aux gens qui vous suivent. Impossible donc, d'envoyer un message privé à Bill Gates pour lui proposer de venir dîner chez vous. :-° 
Je ne vous fait pas l'offense de détailler la procédure d'envoi d'un message, je pense que vous saurez le faire tout seul. :)

Annexes

Les commandements de l'utilisateur de Twitter

Des informations intéressantes tu tweeteras

Si vous voulez avoir un nombre intéressant de followers, il faudra commencer par poster des tweetsintéressants. Tenez-vous au courant de l'actualité grâce aux sites prévus à cet effet (01net, le Monde, etc.).

Tes sources tu citeras

Lorsque vous tweetez une information, il faut impérativement que le message contienne un lien vers une source de foi (journal, site web). Sans ça, votre information ne sera pas crédible.

Le SMS tu banniras

Twitter est un réseau social de microblogging, pas une messagerie instantanée. Écrivez vos tweets dans un français correct, ou je vous garantis que vous ne dépasserez pas les vingt followers !

Les URL tu raccourciras

Lorsqu'on est limité à 140 caractères par message, mieux vaut éviter de poster directement les URL trop longues.
Par exemple si vous voulez poster « Un tutoriel sur PHP et MySQL écrit par Mathieu Nebra sur le Site du Zéro » avec un lien vers le tutoriel PHP du site (http://www.siteduzero.com/tutoriel-3-1 [...] avec-php.html), vous n'aurez pas assez de place.
Pour remédier à cela, il existe des raccourcisseurs d'URL. Le principe est simple : pour chaque URL, le site génère un identifiant unique. Lorsqu'un utilisateur se rend à l'adresse http://site.com/identifiantDeLUrl, il est redirigé vers l'URL originale.
Il en existe beaucoup : bit.ly, tinyurl, etc. 
Pour raccourcir une URL, c'est simple : rendez-vous sur le site que vous avez choisi et entrez-y l'URL que vous désirez réduire. Un lien raccourci vous sera fourni. C'est celui-ci que vous devrez utiliser dans votretweet. :) 
Par exemple, une des URL raccourcies du tutoriel PHP du SdZ est http://bit.ly/cFNX9a (20 caractères au lieu de 74 !).
Notez qu'il existe également des modules complémentaires tels que celui du site bit.ly (pour Google Chrome, Mozilla Firefox et sûrement d'autres) ou goo.gl (pour Firefox et Chrome également).

Envoi de contenu multimédia

Bien que Twitter ne permette pas par défaut d'envoyer du contenu multimédia, d'autres sites jouent le rôle d'intermédiaire.

Images

Si vous voulez uploader une photo pour qu'elle soit visible sur Twitter, rendez-vous sur le site Twitpic. Entrez vos identifiants Twitter, cliquez sur le lien Upload photo en haut à droite de la page, et vous pouvez envoyer votre image. :) 
Par défaut, un tweet contenant un lien vers celle-ci sera automatiquement posté depuis votre compte.

Vidéos

Le principe est le même pour les vidéos, c'est seulement le site qui change : il vous faut cette fois utiliserTwitvid.

Les clients

Twitter possède une API permettant à n'importe qui de développer une application depuis laquelle il est possible de gérer son compte, envoyer des tweets et toute autre fonctionnalité disponible sur le site.
Grâce à cela, de nombreux clients existent. Voyons-en quelques types.

Les clients logiciels

Il existe bien sûr des clients sous forme d'application.
Image utilisateurL'interface de Seesmic Desktop (cliquez pour agrandir)

Les clients add-ons

Il existe également des clients sous la forme de modules complémentaires pour navigateurs. En voici quelques-uns.
Image utilisateurImage utilisateurChromed bird et FriendBar

Les clients web

Des développeurs trouvant l'interface de Twitter pas assez intuitive à leur goût ont décidé de créer leur propre plate-forme pour interagir avec le réseau social.
Il en existe une bonne liste et une simple recherche sur le Net peut vous permettre de les trouver. Je me permets cependant de vous conseiller cotweet, un site très intuitif et facile à prendre en main.
Petite capture d'écran en bonus :
Image utilisateur
L'interface de cotweet (cliquez pour agrandir)

Les clients mobiles

Il existe également des clients pour téléphones mobiles.
  • iPhone/iTouch : Echofon, TwitterFon, Tweetie, etc. Ces applications sont disponibles gratuitement dans l'Apple Store.
  • Android :Seesmic, Twidroid, etc. Ces applications sont théoriquement disponibles sur l'Android Market, bien que je n'aie pas réussi à les trouver. :-°
Image utilisateurImage utilisateurLes interfaces respectives de Seesmic (Android) et d'Echofon (iPhone/iTouch).
Les deux applications dont j'ai posté la capture d'écran (Seesmic et Echofon) sont celles que je vous conseille. :)
Enfin, sachez que des commandes Twitter existent. Je ne les présenterai pas dans cet article car je trouve leur utilité très contestable.
Ce tutoriel s'arrête ici, j'espère qu'il vous aura servi !
Si vous avez une suggestion/question/remarque, envoyez-moi un MP. :)
Un grand merci à 6pri1 pour sa relecture et ses remarques judicieuses et à Fihld et Guillawme pour la zCorrection.
@+
Psst, si vous voulez me suivre sur Twitter, c'est par ici. 
Sources : ici :-°